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Comment la mauvaise gestion de la crise par Macron, son gouvernement et les institutions européennes ont eu un impact sur vos vies ?
EHPAD de la Rosemontoise : la famille d’une soignante morte du COVID19 porte plaintre contre X
Ce mardi 16 juin, la famille d’une soignante de l’Ehpad de la Rosemontoise à Valdoie porte plainte contre X suite à la mort de Patricia Boulak. L’aide soignante de 53 ans est décédée du COVID-19. Elle travaillait dans cet établissement pour personnes âgées dépendantes où 30 résidents sont morts de cette maladie.
« C’est ignoble ». Le désarroi d’une proche d’un senior mort en EHPAD
Ce lundi 1er juin, c’est le témoignage d’une famille d’un résident décédé du virus à l’hôpital qui dénonce « le manque de sérieux » du directeur de la maison de retraite. Sophie Caillaud a perdu en moins d’un mois le compagnon de sa mère, qu’elle considérait comme son père, et sa maman. Ils avaient 78 ans tous les deux.
Coronavirus : les morts oubliés de l’EHPAD de Tonnay-Charente
Seize résidents sont décédés du Covid-19 entre mars et mai. Ni le maire de la commune ni le préfet de Charente-Maritime n’ont été informés de la situation.
Un restaurateur, « frustré et déçu », raconte les difficultés du déconfinement
« Ne pas pouvoir accueillir nos clients le jour-J, c’est décevant ». Après près de trois mois de fermeture, Jonathan Charlois, qui tient le restaurant de fruits de mer « Iodé bistrot » à Boulogne-Billancourt, doit encore patienter. Il ne peut pas rouvrir avec les autres ce mardi 2 juin, car il n’a pas, pour l’instant, la possibilité d’installer une terrasse en face de son établissement.
« J’ai mis mon restaurant en vente », déplore une restauratrice de Malakoff
Valérie Maupas, patronne du Bloom à Malakoff, raconte la dure réalité pour les patrons de restaurant et dit réfléchir à une reconversion.
63 plaintes contre le gouvernement et sa gestion du COVID19 : la colère monte
Ils sont médecins, détenus, élus ou candidats aux élections municipales. Tous dénoncent la gestion par l’exécutif de la crise du coronavirus et estiment en avoir personnellement été victimes, au point de se tourner désormais vers la justice.
« On a peur », raconte un éboueur du Calvados
Et il n’est pas le seul à avoir des inquiétudes. A la maison, ses proches sont préoccupés. « Ma compagne a un peu peur. Peur, que je ramène ça à la maison. Que je refile ça à nos enfants et puis même à elle », raconte Ludovic Brunet.
« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » Le Dr Perronne charge le gouvernement
Il dénonce dans son récent livre “Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ?” (Ed. Albin Michel, juin 2020) la gestion calamiteuse du coronavirus en France et apporte tous les éléments de réponse concernant la fausse polémique autour du traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine du Pr Raoult.
Coup de gueule d’un pharmacien sur l’interdiction de fournir des masques au public
« Si j’étais face à Emmanuel Macron, je lui dirais : ‘laissez les pharmaciens faire leur travail’. Aujourd’hui, on nous a mis de côté. On n’a pas le droit de vendre des masques. Je peux m’approvisionner en masques, sans l’aide de l’Etat. La majorité des pharmaciens peuvent le faire : il y a des réseaux, des filières.
Accès payant aux cercueils à Rungis : la colère des familles
Face à la surmortalité due au Covid-19, un entrepôt a été transformé en morgue début avril. Selon BFMTV, les familles doivent payer pour entreposer le corps d’un défunt.
« Nous n’avions pas de sur-blouses pour les soignants. » Le bilan d’une infirmière bretonne
Les conditions étaient difficiles, avec des décès de résidents, des soignants malades et peu de matériel. « Par exemple, nous n’avions pas de sur-blouses pour les soignants. On a porté des chemises de nuit en guide d’habits de travail pour se protéger. »
« Nous on est en première ligne. Alors on s’inquiète pour nous et nos familles et aussi pour les clients… »
Les caissières des supermarchés et hypermarchés sont en première ligne sur le front du coronavirus. Des milliers d’employées qui ne bénéficient pas forcément du capital sympathie des personnels de la santé. Et pourtant, elles sont directement au contact de la clientèle. Témoignages au Pays basque.
« Notre hiérarchie ne met rien en place pour nous protéger »
Comme les personnels sanitaires, les forces de l’ordre sont en première ligne dans la lutte contre la propagation du virus Covid-19. Chargés de faire respecter les mesures de confinement, les policiers dénoncent les conditions dans lesquelles ils doivent assurer cette mission.
« L’hôpital était seul, aucun soutien de l’agence régionale de santé »
« La situation ne correspondait pas à ce pour quoi j’avais choisi ce métier. L’hôpital était seul, aucun soutien de l’agence régionale de santé ». Une urgentiste de Colmar dénonce.
« J’ai envie de dire que nous sommes livrés à nous-mêmes »
« Aucun restaurant routier ouvert, beaucoup d’aires de repos fermées, donc plus de sanitaires (douches, toilettes…). » Salarié de l’entreprise Cobigo à Baud depuis 2008, ce routier témoigne.
« On est en quête de vérité »
Après une première mise en demeure, un collectif d’infirmiers de blocs opératoires porte plainte désormais contre les directions des 32 hôpitaux de France, dont le CHU de Toulouse, pour « mise en danger de la vie d’autrui ». En cause, le manque de masques FFP2.
« Je pense à tous ces médecins qui sont morts par manque de protection »
Médecin généraliste, il a travaillé non-stop tout au long de la pandémie, soigné des malades sans la moindre protection… Il témoigne de cette période anxiogène.
“On nous a dit : Il faut aller au front !” témoigne une infirmière parisienne
Alors que cela fait des années que l’hôpital public tire la sonnette d’alarme sur les conditions de travail, sur le manque d’effectif et de place, sur le niveau des salaires, le gouvernement est venu nous demander une mobilisation totale durant cette crise ! Et la situation n’a pas changé pendant la crise ! Loin s’en faut ! Nous étions au contact des malades tous les jours et nous n’avions presque pas de matériel !
“C’est un scandale d’État, il faudra rendre des comptes !” la colère d’un médecin de province
“L’Etat n’a pas pris les bonnes mesures. Il n’y a eu aucune préparation !”. C’est ce que j’ai constaté en tant que jeune médecin dans un hôpital de la région Grand-Est. Cela a commencé avec le maintien du 1er tour des municipales, tous les médecins savaient très bien que demander aux Français de se confiner tout en leur disant qu’ils pouvaient voter, c’était du délire ! Blouses, gants, gel hydroalcoolique : nous avons manqué de TOUT !
Ma famille et moi sommes restés coincés au Maroc pendant 10 jours !
Alors qu’avec ma famille, nous devions rentrer du Maroc le 8 avril, nous sommes restés une dizaine de jours au Maroc, sans aucune nouvelle du gouvernement ! Nous étions tellement désespérés qu’à la fin nous avons décidé d’écrire au président Macron ! Sans aucune réponse de sa part ! Est-ce vraiment digne de la 6ème puissance mondiale ?